Rabu, 26 Februari 2014

ricket. Le football fut, il est vrai, en pointe pour dénoncer l'apartheid et dès le 9 avril 1973, une


Aston Villa en 1899
Les Britanniques codifient et organisent le football en s'inspirant des exemples du cricket et du baseball, ces deux sports collectifs étant déjà structurés avant l'émergence du football. Des ligues professionnelles aux championnats et autres coupes, le football n'innove pas. Le premier club non scolaire est fondé en 1857 : le Sheffield Football Club. Le Sheffield FC dispute le premier match interclub face au Hallam FC (fondé en 1860) le 26 décembre 1860 à seize contre seize16. Ces deux clubs pionniers se retrouvent en décembre 1862 pour le premier match de charité16. La Youdan Cup est la première compétition. Elle se tient en 1867 à Sheffield et Hallam FC remporte le trophée le 5 mars17. La première épreuve à caractère national est la FA Challenge Cup 1872. Le professionnalisme est autorisé en 1885 et le premier championnat se dispute en 1888-1889. La Fédération anglaise tient un rôle prépondérant dans cette évolution, imposant notamment un règlement unique en créant la FA Cup, puis les clubs prennent l'ascendant18. La création du championnat (League) n'est pas le fait de la Fédération mais une initiative des clubs cherchant à présenter un calendrier stable et cohérent. L'existence d'un réseau ferroviaire rend possible cette évolution initiée par William McGregor, président d'Aston Villa19. Ce premier championnat est professionnel, et aucun club du Sud du pays n'y participe.
L'Angleterre est alors coupée en deux : le Nord acceptant pleinement le professionnalisme et le Sud le rejetant. Cette différence a des explications sociales. Le Sud de l'Angleterre est dominé par l'esprit classique des clubs sportifs réservés à une élite sociale. Dans le Nord dominé par l'industrie, le football professionnel est dirigé par des grands patrons n'hésitant pas à rémunérer leurs joueurs pour renforcer leur équipe, de la même façon qu'ils recrutent de meilleurs ingénieurs pour renforcer leurs entreprises20. Pendant cinq saisons, le championnat se limite aux seuls clubs du Nord. Le club londonien d'Arsenal passe professionnel en 189121. La ligue de Londres exclut alors de ses compétitions les Gunners d'Arsenal22 qui rejoignent la League en 1893. La Southern League est créée en réaction (1894)23. Cette compétition s'ouvre progressivement au professionnalisme mais ne peut pas éviter les départs de nombreux clubs vers la League. Les meilleurs clubs encore en Southern League sont incorporés à la League en 192024.


Finale de la FA Cup 1905
Concernant le jeu, le passage du dribbling game au passing game est une évolution importante. À l'origine, le football est très individualiste : les joueurs, tous attaquants, se ruent vers le but balle au pied, c’est-à-dire en enchaînant les dribbles. C'est le dribbling. Comme Michel Platini aime à le rappeler, « le ballon ira toujours plus vite que le joueur ». C'est sur ce principe simple qu'est construit le passing game. Cette innovation apparaît à la fin des années 1860 et s'impose dans les années 1880. Dès la fin des années 1860, des matches entre Londres et Sheffield auraient introduit le passing au Nord25. C'est la version de Charles Alcock, qui situe en 1883 la première vraie démonstration de passing à Londres par le Blackburn Olympic. Entre ces deux dates, la nouvelle façon de jouer trouve refuge en Écosse26.
Sur le modèle de la Football Association, des fédérations nationales sont fondées en Écosse (1873)27, au pays de Galles (1876)28 et en Irlande (1880)29. Des rencontres opposant les sélections des meilleurs joueurs de ces fédérations ont lieu dès le 30 novembre 1872 (Écosse-Angleterre), soit quelques mois avant la fondation officielle de la Fédération écossaise30. Des matches annuels mettent aux prises ces différentes sélections, et à partir de 1884, ces matches amicaux se transforment en une première compétition internationale : le British Home Championship. En pratiquant le passing plutôt que le dribbling, les Écossais dominent les premières éditions31.
Football international
Article détaillé : Football dans le monde.


Match de football au stade BMO Field de Toronto au Canada.
Contrairement aux sports « nobles » comme le cricket, le tennis, le hockey sur gazon et le rugby, le football n'est pas très développé au sein des clubs sportifs installés dans l'Empire britannique. Ainsi, cette discipline est aujourd'hui encore peu prisée en Inde, au Pakistan, en Amérique du Nord ou en Australie, notamment. En Afrique du Sud, les colons britanniques y importent le football dès 186932 puis une coupe du Natal est organisée dès 188433, mais le football, sport roi dans les townships34, reste très mal perçu par les tenants blancs de l'apartheid qui lui préfèrent le rugby, le tennis et le cricket. Le football fut, il est vrai, en pointe pour dénoncer l'apartheid et dès le 9 avril 1973, une équipe mêlant joueurs noirs et blancs représente l'Afrique du Sud lors d'un match international non officiel face à la Rhodésie35.
Les Britanniques jouent pourtant un rôle important dans la diffusion du football, notamment grâce aux ouvriers dépêchés aux quatre coins du monde pour mener à bien des chantiers. Le football est par exemple introduit en Amérique du Sud par les ouvriers travaillant sur les chantiers des lignes ferroviaires. Ils montent des équipes et mettent en place des compétitions d'abord réservées aux seuls joueurs britanniques, et qui s'ouvrent progressivement aux joueurs puis aux clubs locaux. Le cas sud-américain est complexe. Il existe également des clubs britanniques qui pratiquent cette discipline et des étudiants originaires d'Angleterre jouent un rôle important dans l'introduction du football entre Montevideo et Buenos Aires36. Ainsi, le football s'installe durablement dans des nations comme l'Uruguay ou l'Argentine dès les années 1870-80. En Amérique du Nord, des compétitions sont créées dans les années 1880 (1884 aux États-Unis sur la côte Est)37.

dispute sa première rencontre en première division face à Nancy et encaisse son premier but en


Jeunesse et formation à Toulouse[modifier | modifier le code]
Issu d'une famille de sportifs (son père était demi d'ouverture au RC Narbonne), Fabien Barthez pratique assez tôt le rugby et le football. Un de ses premiers entraîneurs, Aimé Goudoux, le fixe rapidement au poste de gardien de but.
En 1986, il intègre le centre de préformation du Toulouse FC à Lespinet sous la direction d'Élie Baup et remporte dans la foulée un titre de champion de France cadets. Il rejoint ensuite le centre de formation dirigé par Serge Delmas qu'il fréquente durant trois ans, avec à la clé des apparitions avec l'équipe de Division d'honneur et de D3.
Le 21 septembre 1991, après les blessures de Robin Huc et d'Olivier Pédémas, Fabien Barthez dispute sa première rencontre en première division face à Nancy et encaisse son premier but en professionnel sur une frappe de David Zitelli. Il dispute vingt-six matchs durant cette saison, dont un fameux Toulouse-OM au cours duquel il enchaîne les exploits au point que Bernard Tapie, alors président de l'OM, tombe sous le charme et le recrute à l'été 1992.
Olympique de Marseille[modifier | modifier le code]
Arrivé à Marseille en échange d'une somme jugée déraisonnable pour un gardien de son âge, Barthez craint d'être cantonné à un poste de remplaçant mais une blessure de Pascal Olmeta le propulse au poste de numéro un.
Sous le maillot de l'OM, il connaît la consécration avec la victoire en Ligue des champions contre l'AC Milan (1-0) en 1993. Le club marseillais étant relégué en seconde division en 1994 après l'affaire OM-VA, Barthez joue une saison en D2 avant de partir pour l'AS Monaco.
AS Monaco[modifier | modifier le code]
En Principauté, il remporte deux championnats de France en 1997 et 2000 et atteint la demi-finale de la Ligue des champions en 1998. L'année 2000 est l'apogée de sa carrière; après avoir remporté l'Euro 2000 avec les Bleus, il signe en faveur de Manchester United.
Manchester United[modifier | modifier le code]

à Fontainebleau devant 1.525 spectateurs. Buts SG : Prost (44e, 46e), Carré (58e). Buts ACA : Ruelle


1932-1933. Alors que se crée le championnat de France professionnel, St-Germain évolue en championnat de promotion de première division de la Ligue de Paris (équivalent D5 par rapport à la D1 pro : D1/DH/PH/1d/p1d).
18 septembre 1932. Première participation à la Coupe de France. Au premier tour préliminaire de l'épreuve, Saint-Germain sort à domicile l'US Métro.
9 octobre 1932. Première élimination en Coupe de France. Au deuxième tour préliminaire, Saint-Germain s'incline 4-2 à Enghien face au Stade Enghien-Ermont.
24 novembre 1935. Première confrontation face à un club professionnel dans le cadre des tours préliminaires de la Coupe de France. A Caen, Saint-Germain encaisse un lourd 8-1 face au SM Caen au quatrième tour préliminaire.
1938. Travaux d'envergure au stade municipal du Camp des Loges avec notamment la construction de tribunes et d'une piste d'athlétisme.
1942. Henri Patrelle (24 ans), défenseur central « lourdaud » (dixit Patrelle lui-même) du Stade Saint-Germain, devient dirigeant du club.
1945. Le stade d'honneur de football du Camp des Loges est rebaptisé « Stade Georges Lefèvre », du nom d'un joueur du Stade Saint-Germain mort au front en 1940.
9 janvier 1949. Première participation aux 32es de finale de la Coupe de France. À Amiens, face à Saint-Quentin (CFA), St-Germain (PH) s'incline 4-2.
Mai 1949. Promotion en Division d'Honneur de la Ligue de Paris (équivalent D4 à l'époque : D1/D2/CFA/DH)
12 janvier 1951. Première confrontation en Coupe de France face à un club de D1. À Troyes, face au FC Nancy, St-Germain s'incline 6-1 en 32es.
Mai 1951. St-Germain termine 2e sur 13 en DH de la Ligue de Paris, à sept points du champion, l'AS Amicale de Maisons-Alfort.
Le temps du championnat de France amateurs (1957-1970)[modifier | modifier le code]
Mai 1957. St-Germain est champion de Paris de DH ; promotion en CFA. (équivalent D3 à l'époque : D1/D2/CFA)
18 août 1957. Roger Quenolle, ex-vedette du RC Paris, rejoint St-Germain. Entraîneur-joueur puis entraîneur, il reste en poste jusqu'en mai 1969.
3 septembre 1957. Premier match en CFA. À Nantes, St-Germain concède le match nul 1-1 face aux réservistes des Canaris.
8 septembre 1957. Après deux matches à l’extérieur (1 victoire et 1 nul), Saint-Germain est leader de son groupe de CFA.
20 avril 1958. Saint-Germain achève sa première saison en CFA à une prometteuse 4e place de son groupe.
27 mars 1960. Déterminante victoire 0-2 pour le maintien en CFA à Montreuil sur des buts de Perrin et Vivien.
7 janvier 1962. St-Germain passe le cap des 32es de finale de la Coupe de France. À Cambrai, St-Germain s'impose 1-0 face à Nœux-les-Mines.
28 janvier 1962. Première participation aux 16es de finale de la Coupe de France. À St-Ouen devant 15.609 spectateurs, St-Germain s'incline 3-0 face à Reims (D1).
20 janvier 1963. St-Germain est à nouveau stoppé en Coupe de France par un club de l'élite. En 32es de finale à Denain, Valenciennes s'impose 2-0.
12 janvier 1964. En 32es de finale à Imphy, St-Germain s'incline face Saint-Étienne, alors leader de la D1 (2-0).
11 décembre 1966. Score fleuve à l'occasion du 6e tour de la Coupe de France : St-Germain écrase l'US Bénédictine (Réunion) 14-0 devant 1.313 spectateurs au Camp des Loges. 7 buts par mi-temps: Guignedoux (8e, 22e), Bombray (9e, 29e, 36e), Fruhauff (23e, 38e), Prost (48e, 50e, 51e, 70e, 86e, 90e), Béreau (74e). Entré en jeu à la mi-temps, Michel Prost signe ainsi 6 buts en seconde période.
12 février 1967. 2e participation aux 16es de finale de la Coupe de France. À St-Ouen, face à Lille, St-Germain s'incline 2-0 devant 3.756 spectateurs.
18 mars 1967. St-Germain évolue au Parc des Princes en championnat (CFA) face à la réserve du Stade français à l'occasion d'un lever de rideau du match de D1 Stade français-Monaco. St-Germain enchante le public du Parc et s'impose 0-4.
12 janvier 1969. St-Germain élimine l'AC Ajaccio (D1) en 32es de finale de la Coupe de France (3-2) à Fontainebleau devant 1.525 spectateurs. Buts SG : Prost (44e, 46e), Carré (58e). Buts ACA : Ruelle (9e), Marcialis (84e).
14 janvier 1969. Suite à l'exploit en Coupe de France, Saint-Germain fait la première page de l'hebdomadaire France Football (N°1189).
24 février 1969. St-Germain élimine ES La Ciotat (2-1) en 16es de finale de la Coupe de France au Parc des Princes devant 6.234 spectateurs.
9 mars 1969. Affluence record au Camp des Loges : 4.593 spectateurs assistent au 8es de finale retour de la Coupe de France face à Évreux.
29 mars 1969. Première participation aux quarts de finale de la Coupe de France. Au Parc des Princes, St-Germain s'incline 0-2 face à l'OM devant 14.760 spectateurs. Les « Blancs » tiennent tête aux Olympiens pendant 72 minutes avant de s'incliner (Bonnel, 72e ; Joseph, 87e).
8 juin 1969. En s'imposant 2-0 au Camp des Loges face à Cambrai, St-Germain termine sa 11e saison en CFA au troisième rang du groupe Ouest. C'est la meilleure performance en championnat pour les « Blancs » ; Après 11 saisons passées à St-Germain, Roger Quenolle peut tirer sa révérence… et signer à Poissy où il devient l'un des piliers du club pendant 14 saisons.
Juin 1969. Pierre Phelipon remplace Roger Quenolle au poste d'entraîneur.

Le Parc des Princes est depuis juillet 1974 le stade principal du club. La nouvelle enceinte inaugurée


Depuis 2013
     Cliquez sur une vignette pour l’agrandir
Structures du club[modifier | modifier le code]

Finances[modifier | modifier le code]
La publication du bilan financier de la saison 1970-1971 laisse apparaître 205 200 francs de pertes pour 1 776 950 francs de recettes. Comme nombre d'autres clubs français, le PSG devra le plus souvent composer avec des finances déficitaires. Daniel Hechter puis Canal+ mettront ainsi la main à la poche pour permettre au club de conserver son standing. À la suite de l'affaire de la double billetterie du Parc des Princes qui coûte son poste de président à Daniel Hechter en janvier 197811, le PSG est mis sous contrôle serré des autorités financières. Ceci permet dans un premier temps de limiter les déficits, mais la concurrence du Matra Racing pousse le PSG à la faute entre 1986 et 1990. Le Racing abandonne son statut professionnel en juin 1990 et laisse le PSG avec un déficit de 50 millions de francs87. Les mauvais résultats financiers et sportifs ont raison du président Borelli et le PSG est racheté par Canal+ le 31 mai 199112.
La prise de contrôle du club par Canal+ s'effectue progressivement. Après l'intervention de 1991, on procède le 21 avril 1997 à une modification au capital de la SAOS « Paris Saint-Germain Football ». Le poids de l'association loi 1901 du PSG passe de 51 % du capital de la SAOS à 34 %. Canal+ est désormais actionnaire majoritaire88. Nouvelle modification en juin 2001 : l'association type 1901 du PSG cède l'ensemble de ses parts de la SAOS devenue SASP (34 %) à Canal+. Fin août 2005, Canal+ rachète les 1,8 % détenus par Alain Cayzac ; le PSG est alors à 100 % sous le contrôle de la chaîne cryptée89.
Entre 1991 et 1998, le PSG conserve des finances saines et les dépenses du club s'établissent aux alentours de 50 millions d'euros par saison en profitant de la montée en puissance des droits télé, du doublement du nombre de spectateurs au Parc des Princes ainsi que de profitables performances en coupes nationales ou européennes. Depuis le départ de Michel Denisot, le club accumule au fil des saisons des dettes importantes : 96 millions d'euros d'endettement cumulé en juin 200290. En recapitalisant le club, cet endettement net tombe à 8 millions d'euros en juin 2004. Les finances courantes restent pourtant dans le rouge. Ainsi, pour la saison 2004-2005, le club déclare à la DNCG des dépenses de 87,037 millions d'euros pour un déficit de 17,801 millions d'euros et un chiffre d'affaires réel de 69 millions d'euros. Les chiffres publiés par la DNCG font état de 20,823 de millions d'euros de billetterie, 13,793 millions d'euros en provenance des sponsors, 31,270 millions d'euros de droits télé, 2,371 millions d'euros de subventions et 1,117 million d'euros de merchandising. Hors transferts, les autres sources de revenus sont inférieures au million d'euros. Côté dépenses, les salaires des joueurs et du personnel sont chiffrés à 40,655 millions d'euros dont 9,012 de charges. Les autres impôts et taxes s'élèvent à 5,806 millions d'euros91.
En 2005-2006, le PSG reste le seul club français largement déficitaire avec une perte de 13,456 millions d'euros. Malgré l'absence du PSG en coupes d'Europe, le chiffre d'affaires réel du club était de 80,364 millions d'euros (en hausse de 16 % par rapport à la saison précédente). Les chiffres publiés par la DNCG font état de 19,179 de millions d'euros de billetterie (-8 %), 17,440 millions d'euros en provenance des sponsors (+21 %), 34,331 millions d'euros de droits télé (+9 %), 2,357 millions d'euros de subventions (-1 %) et 0,833 million d'euros de merchandising (-34 %). Côté dépenses, les salaires des joueurs et du personnel sont chiffrés à 50,064 millions d'euros (+19 %) dont 9,927 de charges (+10 %). Les autres impôts et taxes s'élèvent à 5,391 millions d'euros (-8 %)92.
De source AFP le montant de la vente du club en 2006 aux investisseurs Colony Capital, Butler Capital Partners et Morgan Stanley serait de 41 millions d'euros pour un montant initial demandé par Canal + de 80 millions d'euros ; la dette cumulée du club est assumée par la chaîne cryptée, remettant ainsi les compteurs financiers du club à zéro.
Le chiffre d'affaires réel du club passe à 77,720 millions d'euros en 2006-200793, à 73,497 millions d'euros en 2007-200894 et à 100,819 millions d'euros en 2008-200995. Les déficits enregistrés sont de 18,975 millions d'euros en 2006-200793, de 12,282 millions d'euros en 2007-200894 et de 5,418 millions d'euros en 2008-200995.
Depuis le rachat du club en 2011 par le Qatar Investment Authority, le budget et le chiffre d'affaires du PSG ont grandement augmenté, aussi bien grâce aux apports de liquidités qataries mais aussi grâce à une nouvelle politique économique favorisée par la venue de stars comme Ibrahimovic ou Thiago Silva. Cette nouvelle politique permet notamment au club d'accroître sa popularité en dehors des frontières françaises à l'image des plus grands clubs européens. Les revenus publicitaires, le merchandising, les droits télévisuels et les revenus de billetterie du PSG se retrouvent alors décuplés. Ainsi en 2013, le Paris Saint-Germain est considéré comme l'un des cinq clubs les plus riches au monde avec presque 400 millions d'euros96.
Stades[modifier | modifier le code]
Parc des Princes[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Parc des Princes.
Le Parc des Princes est depuis juillet 1974 le stade principal du club. La nouvelle enceinte inaugurée le 25 mai 197297 fut utilisée par le PSG pour la première fois dès le 10 novembre 1973 à l'occasion d'un match de championnat de Division 2 face au Red Star joué en lever de rideau d'un match de Division 1, Paris FC-FC Sochaux98.
Le PSG partage le Parc avec d'autres clubs de football (Paris FC en 1978-1979 et Matra Racing de 1984 à 1990) et les équipes nationales de football et de rugby à XV jusqu'en février 1998, date d'inauguration du Stade de France. Le transfert du PSG au Stade de France est un temps évoqué, mais finalement abandonné. Le club, toujours locataire du Parc, s'approprie toutefois un peu plus le stade en installant notamment son siège dans un nouveau bâtiment inauguré le 18 février 200299. Les couleurs des sièges, bleus, rouges ou jaunes depuis 1972, sont rouges ou bleus depuis 1998.
Stade Georges-Lefèvre[modifier | modifier le code]